Paradoxe temporel

Ah Cardiff. Enfin Il fallait que je fasse un plein. Et si j’allais rendre visite à mon vieil ami ? Pourquoi pas. Mais d’abord il faudrait que je retrouve l’adresse. Ne l’ayant pas retrouvé je parcourais la ville à la recherche du bâtiment. J’aimais bien Cardiff. Rien à voir avec Londres, qui est très grande, ça se vide vite la nuit tombée, Il faut bien chercher pour trouver l’animation. Cardiff est plus petite, plus accueillante, plus hospitalière. Et de plus c’est construit sur une faille, que rêver de plus. Il y a souvent de l’action, provoquée par la faille. Je me baladais sourire aux lèvres. Je divaguais entre les rues. J’étais tranquillement en train de me balader quand je tombais sur un bâtiment en construction. On voyait clairement qu’il y avait des décombres en dessous. Je me renseignais alors sur l’origine des décombres. Ils me répondirent que c’est l’ancien bâtiment Torchwood qu’on avait fait exploser et que l’on le reconstruisait. Je me demandais alors ce qui était arrivé à Jack, je savais qu’il aurait survécu mais sans ce bâtiment il n’avait pas de travail, il n’avait plus rien. Et de plus qu’était devenu Siobhan, Elle faisait parti de l’agence du temps maintenant. Je demandais alors qu’étaient devenus les membres de Torchwood. On me répondit qu’il n’en avait plus entendu parler pendant un an, puis il y’a une institution était née et s’appelait Torchwood International. Ce serait aussi grâce à eux et à l’ancien chef de base de Torchwood qu’ils avaient obtenu un permis de construire. J’allais alors m’asseoir à la terrasse d’un café, prenant un journal et un croissant. Je me renseignais sur la nature de cette institution. C’était une institution américaine inspirée de Torchwood 3. À sa tête une certaine Yuki Kuran, mais c’était apparemment Jack qui avait eu l’idée de la créer. Je prenais mon temps. Je mangeais mon croissant lentement. Je finis par baisser mon journal. Je crus reconnaître jack devant le bâtiment en construction. Je payais l’adition, mais le temps de la payer, il n’était plus là. Je repris alors ma marche en ville. Je finis par retourner au TARDIS. Je regardais où en étais le plein. Il était fini. Je décidais alors d’aller me garer près du bâtiment en construction. Quand j’arrivais, je vis Jack, près du bâtiment. Cette fois j’étais décidé à le suivre. Je le suivis, jusqu’à ce qu’il disparaisse dans une rue sombre. Je m’engageai dans la rue prudemment. C’était une ruelle sombre. Des bruits se firent entendre rapidement. C’étaient des Weevils. Il y en avait plein partout. La nuit venait de tomber. Tout à coup, des phares se firent voir du fond de la rue. Elle se dirigeait à vive allure vers moi et je me mis à courir. Le bout de la rue était a quelques mètre quand la voiture me percuta. Je me réveillais sans doute plusieurs heures plus tard dans mon TARDIS.
Comment m’avait-on déplacé là, personne n’était sensé savoir que le TARDIS était là, Je me leva doucement, Jack était là, Siobhan aussi. J’étais content de les revoir.

-Mes amis, comme je suis heureux de vous voir !
Ils n’avaient pas l’air enthousiastes et même avaient l’air de s’en foutre complètement. Je m’écartais puis dit :

-Alors vous n’êtes pas contents de me voir ?
Ils hochèrent la tête mais sans satisfaction. Je regardais leurs pupilles, elles étaient normales.

-Qu’est-ce que vous regardez comme …
Un Ood, aux yeux rouges, suivi de beaucoup d’autres était là dans le TARDIS. Que faisaient-ils là ? Je l’ignorais. Que faisaient-ils au 21e siècle ? Je l’ignorais encore plus. Mais le plus important est qu’ils avaient leurs yeux rouges. Ce n’était absolument pas bon signe, sachant qu’à chaque fois c’était pour tuer. Je dis :

-Ok. On va aller doucement dans l’autre partie du TARDIS, sans faire un bruit, tout va bien se passer … Courrez !
Nous courûmes dans tout le TARDIS pour échapper au Oods, et heureusement que le TARDIS n’était pas totalement envahi, sinon il en serait sorti de tous les côtés. Je réussis à revenir à la console et réussis à les faire sortir du TARDIS.

-Mais que se passe-t-il ici !

Malgré l'heure tardif Siobhan ne dormait pas, elle n'avait jamais eu été très amis avec lui, chaque fois qu'elle dormait elle avait l'impression qu'elle ratait quelque chose, et parfois, que son lit pouvait exploser. Un vieux cauchemar qui remontait à l'époque où elle était petite et que Protestant et les Catholique ce battait dans la rue. En divaguant dans les lieux elle remarqua que le bureau de Jack était allumer. Ce n'était pas une chose étonnante mais elle décida d'aller le voire. Elle le trouva encore une fois triste à contempler son mure de photos. Sans aucun gêne, car elle en avait rarement, elle alla s’assoir sur ces genoux et déposa un baiser sur sa tempe. Sa main sur son épaule se voulait rassurante.

- C'est bien de ce souvenir, de ne pas les oublier. Mais là tu te fait plus de mal qu'autre chose Jack. Chaque fois que tu regarde ces photos tu te donne toi même des coups,..., Fait moi plaisir et met les dans un jolie album photo qui leur honneur.

Jack ne lui répondit pas, mais elle n'en attendait pas. Il ce leva elle aussi et décida de partir à Cardiff, Yuki exigea que Siobhan l’accompagne. Habituer au départ précipiter le jeune Irlandais était prête en même temps que Jack.

Une fois dans la petite ville Galloise il n'y avait pas besoin d'avoir fait des trillion d'année de psychologie pour savoir ce que Jack allait faire. Il ne réussit donc pas à ce débarrassé d'elle. Depuis le haut du chantier, elle l'observa ramasser une tasse dans les ruines. Elle avait de la peine pour lui, il n'arrivait pas à tourner la page. due moins il n'y arrivait plus.

Elle le vit partir en courant. Elle entendit elle aussi le bruit de poubelles renverser. Elle avait une fine oreille de musicienne qui lui était parfois très utile. Elle tenta de le suivre en suivant les poubelle. Une fois dans la ruel elle sortit une arme. Toujours préparer au départ rapide. Mais elle la rangea quand elle vit Jack au pencher au dessus d'un homme, elle reconnu elle aussi le Docteur et souria, attendant le verdict quand Jack apposa ses main sur les deux cœur. Elle rangea son arme et due expliquer à quelque curieux que s'était un amis qui n'avait pas supporte la bière. Tandit que Jack le Portait jusqu'au Tardis. Elle se sentit incroyablement inutile, Jack était tellement plonger dans sa nostalgie qu'il en oubliait ces amis présent, tout particulièrement celle qui était justement là à ces côté.

Elle observa l'intérieur de vaisseau ce rappelant les nombreux voyage; et les nombreuse fois où elle s'était cogner la tête parce que le Tardis bougeait beaucoup lors de la plupart des voyages. Mais quelque chose avait changer, ce n'était plus exactement le Tardis qu'elle avait connu, c'est alors qu'elle remarqua avec les deux autre la présence des Oods. Elle courut avec eux dans le vaisseau.

- Les mecs, je n'ai qu'une seul arme, et une seul recharge, je n'ai pas pris le grand quitte de voyage. Ça ne servira pas à grand chose face à toute ces Ood,..., On devrait ce concentrer sur ce qui fait qu'ils on les yeux rouge, Docteur?

Je m'approcha de Jack, presque assez pour que nous soyons, front contre front, puis je tournais autour de lui, l'examinant. Il n'avait pourtant pas l'air d'avoir changer. Je lui dit alors :

-Tu as bien changé Jack. Tu es bien plus froid qu'avant. Que s'est-il passé? C'est ce bâtiment, tes amis son morts? Si c'est cela je comprends ta douleur, mais fais en sorte de te contrôler. Je n'ais jamais eu d'esclaves et je n'en aurais jamais !
Moi même j'avais bien changé et je le savais. Encore une fois j'avais perdu une de mes compagnes et cela ne me réjouissait vraiment pas. Il l'avait bien compris, Rose était partie. Cela faisait 5 ans. Mais je n'en dis rien. Un silence suivit puis ce fût au tour de Siobhan de Parler :

- Les mecs, je n'ai qu'une seul arme, et une seul recharge, je n'ai pas pris le grand quitte de voyage. Ça ne servira pas à grand chose face à toute ces Ood,..., On devrait ce concentrer sur ce qui fait qu'ils on les yeux rouge, Docteur?
- En premier lieu, pas d'armes, vous le savez, c'est la règle avec moi. Ensuite les yeux rouges, j'ai bien déjà vu ça quelque part ... réfléchis, réfléchis ! Oui ! sur la sphère des Oods avec Donna, leur conscience leur a ordonné de détruire les humains pour pouvoir la libérer. Ils étaient bien plus en colère que sur la base en orbite autour du trou noir. Une vielle histoire. En tous cas, ils avaient à chaque fois envie de tuer. Donc Ils veulent tuer, mais les humains n'ont pas trouvé la sphère des Oods avant ... Plusieurs siècles même plusieurs millénaires après aujourd'hui, que font-ils au 21e siècle?
Je pris mes lunettes pour voir ce qui est passé par le Void, et sortis, les Oods n'étaient plus là. Ils devaient être en train de mettre la panique en ville.

-Et mince, ils nous on filés entre les doigts!
Je mis mes lunettes sur mon nez, pris mon tournevis, et dit à Siobhan et à Jack :

-Rendez-Vous ici dans 15 minutes. En attendant, regardez s'il n'en reste pas dans la quartier, s'il en reste, ramenez les endormis et même sonnés au TARDIS. Amenez-en un au labo et les autres enfermez les dans une pièce ... Euh ... non ramenez en le plus possible et enfermez les dans une pièce du TARDIS.
Ceci dit, je me mis en recherche des Oods, il en restaient quelques uns dans les parages. Je les mis tous K.O. pour pouvoir les récuperrer plus tard. J'en pris un au hazard et le ramena au TARDIS. Jack et Siobhan arrivèrent quelques minutes après, un Ood chacun sur le bras.

-Posez-les j'en ais d'autre à récupèrrer, dis-je en bidouillant quelques trucs sur le TARDIS.
Celui que j'avais brancher au TARDIS, se téléporta jusqu'au labo, puis je manoeuvrai le TARDIS et alla récuperrer les Oods que j'avais laissé K.O. dans des ruelles sombres. Après avoir récupérer les Oods infectés que l'on avais pas ramenés, nous les enfermâmes tous dans une pièce du TARDIS, et allâmes jusqu'au labo ou nous vérifiâmes que les fonctions vitales du Ood étaient intactes et qu'il n'avait pas de commotions cérébrales. Puis je m'occupais de ses ondes cérébrales.

Jack Harkness, celui du tout début, celui du moment où il venait de rencontrer le Seigneur du Temps était de retour. Il en voulait au Docteur, beaucoup plus depuis ces vingt dernières années. Il maudissait son immortalité, ce fichu Time Lord qui ne répondait jamais à ses appels, cette boîte qui voyageait partout, et surtout, le fait qu'il n'est pas pu sauver Ianto. Oh oui, il avait de très bonnes raisons de lui en vouloir. Le capitaine finit par obéir au Docteur, non sans un grognement qui voulait dire "on en reparlera" et partit chercher les Oods.

Ils étaient plutôt simple à suivre, il faut dire qu'ils n'allaient pas spécialement très vite.... Un bon coup de sédatif et sa proie tomba dans ses bras. Il gémit doucement, se rappelant amèrement le corps de son amant dans ses bras, l'abandonnant petit à petit, tandis qu'il s'efforçait de le faire garder les yeux ouverts. Il secoua la tête, chassant cette image. Il mettrai ça au point avec le Docteur tout à l'heure. Il partit aider Siobhan à attraper le deuxième avant de retourner au Tardis, l'alien sur son épaule. Jack le posa dans la pièce indiqué avant de retourner en salle de contrôle. Il était étrangement calme. Un calme inhabituel chez le dragueur légendaire qu'était Jack. Pas un mot, pas un sourire, simplement ce silence. Il était en pleine reflexion, cherchant en vain une excuse pour aller au temps des 456, dans cette pièce avec un masque. Il aimerait tant pouvoir retourner en arrière...C'était malheuresement impossible, improbable et l'autre lui dirait certainement que ça créérait un paradoxe. Pourtant, il devait essayer, question de vie ou de mort. Il prit son courage à deux mains et partit dans les couloirs à la recherche du Time Lord. Une boule se forma dans son ventre. Malgré tout ça, il admirait encore le Docteur, que dirait-il lorsqu'il lui demandera ça? Le chasserai t-il? Ca se pourrait bien. Tant de question et pourtant si peu de temps pour y répondre. Il fallait essayer, pour pouvoir au moins chasser tout ses démons qui le hantaient depuis bien trop longtemps. Il souffrait de ces pertes.

Il se stoppa, le Seigneur du Temps était devant lui. Jack prit une inspiration et s'avnança doucement.

"Docteur... Je peux vous parler?"

- Pas d'arme, pas d'arme, vous en avez de bonne vous!. Et vous en faite quoi de l'équilibre entre la vie et la mort, vous le grand pacifiste si pointilleux sur les règles?

Elle n'attendit pas vraiment de réponse de la part du Docteur et rangea son arme avant de partir à la chasse aux Ood, Elle ne connaissait absolument rien d'eux ce qui ne facilita pas sa mission de capture dans une petite ruel. Le Ood lui échappa une première fois et elle jura quand Jack due venir l'aider. Elle détestait ne pas pouvoir faire les choses par elle même. Elle le suivit jusqu'au Tardis et une fois les Ood à leur place, elle s'appuya contre un piller, observant ce qui ce passait. Intérieurement elle avait envie de crier parce qu'elle avait l'impression de ne servir à rien, ce qu'elle détestait le plus au monde. Les deux hommes non loin d'elle n'avait presque rien à faire d'elle. Pire, Jack l'ignorait totalement. Et en fesant cela, il lui faisait mal.
Il n'y en avait que pour son passé et en oubliait le présent. Il ne se rendait même pas compte du mal qu'il fesait à lui même et surtout au autre.

Je courrais dans tous le TARDIS, cherchant des chose ça et là. À chaque fois que je trouvais quelque chose, je le ramenais au labo et ainsi de suite pendant une bonne dizaine de minutes. À chaque fois quelque chose apparaissait à l'écran. Et des nouveaux symptômes s'ajoutaient au précédents. Petit à petit je découvris que les ondes cérébrales qu'il dégageait n'était pas les siennes et impossible de savoir d'où elle venaient et de qui elles venaient. Sou pou s’accéléra, ses fonctions respiratoires à leurs tours, il commençait à convulser.

-Non, non, non ...
Le scanner se mit à produire des étincelles. Tous les appareils se mirent à s'éteindre et à se rallumer tours à tours puis la lumière s'éteingni à son tour. Quand la lumière revint, Le Ood n'était plus allongé sur la table où je l'avais mis. Un profond sentiment de terreur m'envahit. Je me retournais lentement, le plus doucement possible. Le Ood était là, derrière moi, Son regard rouge, me fixant avec attention au moindre geste que je faisais. Il avait sa boule allumée à la main.

-Je ne veux que votre aide, dites moi où est votre conscience commune.
-Vous devez périr, les humains doivent périr!
-Non, je ne suis pas humain et de plus les humains ne vous ont rien fait, à part vous mener en esclavage les 200 premières années où ils vous découverts, mais ils vous traiterons bien par la suite.
-Vous devez périr!
-Oh non.
J'abaissais les lumière, sortis en vitesse du labo et fermais la porte derrière moi avec le tournevis, il était enfermer. Pourquoi voulaient-ils tuer les humains? Pourquoi cette haine? Je vais réussir à rétablir la paix, qu'est ce qu'il leur faut de plus? Et d'ailleurs que font-ils là? Je courrais dans le TARDIS en direction de la salle où se trouvaient les Oods. Ils étaient en train de convulser. J’entrais dans la sale et ils reprirent tous un comportement normal, étrange.

-Je suis le docteur je veux vous aider. Mais pour cela vous devez me dire quel est votre problème.
-Vous devez périr, dirent-ils tous en choeur.
-D'accord, je vois que vous ne voulez pas répondre alors veuillez rester ici le temps que je trouve une solution.
Ils se mirent à converger sur moi tels du métal serait attirés par un aimant. Je sortis alors en vitesse de la sale en refermant de nouveau derrière moi avec le tournevis. Je restais, je m'assis en m’appuyant sur la porte. Pourquoi les humains? Pourquoi eux? Ils vont finir par laisser leur conscience tranquilles, alors pourquoi eux? Je retournais la question dans tous les sens aucune réponse me vint à l'esprit. Je me relevais alors, retournais vers la console du TARDIS quand je rencontrai Jack qui m'arrêta dans mon élan.

-Docteur ... Je peux vous parler?
-Oui qu'y a-t-il Jack?

Jack baissa la tête, sachant d'avance que ça n'allait pas être une partie de rigolade que de parler de Ianto. Surtout connaissant à quel point le Docteur était pointilleux sur les paradoxe temporels et ce qu'ils peuvent engendrer.

"Et bien.... Tout d'abord, j'ai une question. Cette question c'est : Pourquoi? Pourquoi ne pas être intervenu ! Quand on avait le plus besoin de vous, vous ne vous être jamais montré ! Les 456, le jour du miracle ! J'ai eu beau essayé de vous appeler, aucune réponse ! Ils ont manqué de tuer un tiers des enfants terriens ! J'ai du sacrifier mon petit-fils Docteur ! Mon Petit-fils ! De plus, ils m'ont pris Ianto, ils l'ont tué, lui et la quelques cinquantaine de personnes piégées dans le MI-5. Pourquoi?! Pourquoi est ce que je n'ai pas le droit de mourir?! Oh et ne me répondez pas parce que je suis une erreur, un point fixe et tous vos blablas d'extraterrestres !"

Il serra les poingts, de peur que l'un des deux viennent s'encastrer dans la figure du Docteur. Ce n'était pas de sa faute. Mais il se posait beaucoup trop de question, et pour lui, une seule personne était responsable de son malheur, et elle se trouvait justement devant lui. Il devait absolument se calmer.

En réalité il avait peur. Peur de devoir affronter la mort, peur d'affronter la réponse du Docteur. Il voulait simplement qu'on lui rende son amant, et ceux, peu importe le prix à payer. Il pourrai détruire une armée Dalek à mains nues rien que pour avoir quelques minutes supplémentaires avec son cher Ianto. Une seule question lui vint alors. Il regarda le Docteur droit dans les yeux.

"Est-ce qu'on peut le faire revenir?"

-Et bien.... Tout d'abord, j'ai une question. Cette question c'est : Pourquoi? Pourquoi ne pas être intervenu ! Quand on avait le plus besoin de vous, vous ne vous êtes jamais montré ! Les 456, le jour du miracle ! J'ai eu beau essayé de vous appeler, aucune réponse ! Ils ont manqué de tuer un tiers des enfants terriens ! J'ai du sacrifier mon petit-fils Docteur ! Mon Petit-fils ! De plus, ils m'ont pris Ianto, ils l'ont tué, lui et la quelques cinquantaine de personnes piégées dans le MI-5. Pourquoi?! Pourquoi est ce que je n'ai pas le droit de mourir?! Oh et ne me répondez pas parce que je suis une erreur, un point fixe et tous vos blablas d'extraterrestres !
Je baissai la tête. Je n'ai peut être pas pu venir, car je ne peux pas être présent à chaque moment de la création et à chaque changement. Je ne peux pas être présent partout. J’allais lui répondre quand il me dit :
-Est-ce qu'on peut le faire revenir?
Sa question m’énerva à tel point que j’aurais voulu lui mettre une droite sur le champ et l’engueuler. Pour qui se prend-il pour vouloir créer des paradoxes temporels ? Mais en même temps je savais qu’il était toujours en deuil. Donc je ne fis que serrer les poings. Je lui dis alors :

-Pour répondre à tes deux premières questions, il m’est impossible, impossible, de me trouver à deux endroits en même temps, que ce soit pour répondre au téléphone que pour me trouver dans deux périodes différentes ou deux planètes différentes. Ensuite pour la deuxième, je ne peux pas réparer ce qu’à fait Rose, et tu le sais. Enfin pour la troisième …
Je pris le temps de choisir mes mots et de rayer l’énervement qu’elle a faite en moi.

-Enfin pour la troisième, ce serait créer un paradoxe temporel et tu le sais, je ne peux pas faire ça, ça devait arriver et je ne peux pas changer ça. Mais regarde autour de toi Jack, la vie continue, Torchwood existe toujours, et vous aller faire de grande chose, mais je ne peut pas t'en dire plus là dessus.Tien par exemple Siobhan, j'ai voyager avec elle très longtemps et tu es bien l'une des seules personnes qui arrivent à la faire pleurer, et ça tout simplement parce que tu ne regardes pas la vie qui continue.
Je le vis baisser la tête. Je lui dis alors:

-Je suis vraiment désolé pour Ianto, mais on ne peut pas défaire des choses qui ne peuvent être changées. Je suis désolé, sincèrement désolé.

Sur ce, je repartis dans vers la console du TARDIS, quand Jack m'arrêta de nouveau :

-Qu'y a-t-il?
Il ne dit rien. Je ne compris pas pourquoi il m'avait retenu, cependant je restais là.

[HRPG :Je rep parce que Sio m’a dit qu’elle ne faisait que nous observer maintenant ]

Jack serra les dents. Il savait ce qu'il allait lui répondre, mais c'était toujours aussi glacial. Il le fixa droit dans les yeux, le regardant de toute sa hauteur. Oh non, ça n'allais pas se passer comme ça. Il s'apprêtait à repartir vers la salle de contrôle. Il le stoppa.

"Vos désolés vous pouvez les ravaler. Ce n'est pas vous qui était dans cette foutue salle, son corps dans les bras alors qu'il partait !

Ils auraient pu embarque quatre millions d'enfants ! Quatre Millions ! Quand vous aviez besoin de nous, on était là ! Et vous ! Vous étiez où cette fois?! Répondez !"
Jack était en colère cette fois. Il avait perdu tout contrôle de lui-même, préférant lui hurler dessus que de se calmer. Pour lui, tout ça était de sa faute, et il était longtemps resté persuadé que les 456 étaient revenus pour se venger de lui. Il lui lança un de ses regards glacial.

"Il n'avait que vingt huit ans. Mettez vous ça dans le crâne."

Sur ce, il repartit vers la salle de contrôle, lança un regard à Siobhan avant de sortir du vaisseau et de se laisser tomber contre la paroi. Rose avait raison, il y a bien longtemp, le Docteur est comme le feu, et à force de le cotoyer, on finit par se brûler. Il desvait se calmer, et rapidement. S'énerver ne servirait de toute manière à rien.

Siobhan n'aimait pas voire les personnes en colère, mise a part ces ennemis, car ce sentiment amenait toujours à d'autres, tout aussi peut agréable, particulièrement la tristesse. Et s'était justement ce que ressentait Jack.
Cela faisait plusieurs mois qu'elle tentait de retrouver le soldat qui lui avait sourit quand elle était petite. Son collègue de l'agence du temps. Mais elle n'était pas la personne à qui il devait parler.
Maintenant qu'il avait retrouver la bonne personne et déballer son sac, elle avait espéré que tout ce calme. Mais comme prévu, la tristesse était venu prendre la relève.

Elle regarda un long moment le Docteur pour voire sa réaction et tenter de comprendre son ressentit. Puis elle sortit à son tour rejoindre Jack.
Elle resta à distance afin qu'il ne se sente pas agresser et attentent de longue minutes avant de parler.

- Je ne prétendrais jamais connaitre tes douleurs. L'immortalité est un cadeau empoisonnée. Tu voix les gens que tu aime mourir autour de toi. Mais tu les rend aussi meilleurs. Si tu n'avait pas embaucher Ianto à Torchwood 3 il serait peut être encore en vie. Mais quel vie aurait-il? ... Il serait peut être devenu une victime d'une chose qu'on se bat, qui sait? ... Idem pour moi. Si je n'étais pas à cette instant à tes côtés je serais condamné à chanter et jouer dans des Pubs Irlandais d'après guerre, où je serais tout simplement au chômage, en trin de faire je ne sais quel job ennuyeux ... Et se serait une horreur. Tu sais as quel point j'aime ce qu'on fais. Il m'a même abandonné à tes côtés à l'agence du temps parce qu'il savait que serait à tes côté que je serait le mieux. Que tu ferait de moi quelqu'un de bien.

Elle regarda Jack et rajouta avant de sourire en coin.

- Et parce qu'il en avait marre de me supporter ... Ca ne te rappel personne?!


( HJ; dsl si se n'est pas super, je ne répond qu'avec un seul oeil valide )

-Vos désolés vous pouvez les ravaler. Ce n'est pas vous qui était dans cette foutue salle, son corps dans les bras alors qu'il partait !
Ils auraient pu embarque quatre millions d'enfants ! Quatre Millions ! Quand vous aviez besoin de nous, on était là ! Et vous ! Vous étiez où cette fois?! Répondez !
J'allais lui répondre sur le même ton, il commençait sérieusement à m'agacer. Mais il répliqua avant :

"Il n'avait que vingt huit ans. Mettez vous ça dans le crâne."
Il s'en alla sur le champ. J'aurais voulu le rattraper, seulement j'avais des choses à faire, on discuterait de ça plus tard. J'allais vérifier l’activité du TARDIS. Rien de suspect, les Oods n'avaient pas bougé. J'allais alors jusqu'à la salle où ils se trouvaient. Il n’y avait plus de lumière. Je rallumai la lumière, les Oods me regardèrent. J’eu peur en les voyant avec leur yeux rouges. J’ouvris la porte, ils restaient calmes. Ils me regardaient fixement, ils ne bougeaient pas. Ils se retournaient simplement si je passais derrière eux. Je dis alors :

- Que faites-vous ici ?
-Vous mettre en garde et mettre en garde les humains.
Je ne comprenais pas leur soudain changement d’attitude Je leur répondis tout de même :

-En garde de quoi ?
-De la menace.
-Quelle menace ?
-Une menace pesante sur vous et les humains.
-Quelle menace ?
-Celle de la tristesse et de la colère d’un dieu.
-Quel dieu ?
-Un Dieu parti des siens et un dieu parmi tant d’autres.
-Je ne comprends pas.
-Vous comprendrez bientôt Docteur.
-Je vais vous ramener dans votre époque.
Leurs yeux redevinrent normaux et l’un deux dit :
-Merci Docteur.
-De quoi ?
-De nous ramener chez nous, cette période est trop hostile pour nous.
-Je n’allais tout de même pas vous laisser ici.
Je reviens à la console fit deux trois petits réglages et dit aux Oods de sortir de la salle. Je dis alors à Jack et à Siobhan :

-Je reviens tout de suite.
J’allai jusqu’à la périodes des Oods sur leurs planète. Ils me dirent :

-Merci Docteur et faites attention à l’orage qui gronde.
-Quoi ?
Trop tard, ils étaient déjà partis. Je reviens voir Jack et Siobhan. Je leur dit alors de rentrer.

Jack fixa Siobhan comme si elle venait de Mars. Elle lui demandait de l'oublier alors que lui faisait tout son possible pour le garder dans sa mémoire. Le Tardis disparut, laissant le capitaine tomber sur le dos, surpris. Il grogna et se releva.

"Je sais... C'est juste que je lui ai fait un promesse, il y a vingt ans maintenant. Celle de ne pas l'oublier. Je n'ai même pas eu le courage de lui avouer mes sentiments. On aurait pu le ramener, si seulement cette tête de mule aurait voulu. On peut toujours changer les choses."

Il baissa les yeux sur ses pieds. Le jeune et fougueux Capitaine Jack Harkness était déjà bien loin... Bien loin de cette époque. Il avait même déjà songé à changer de nom. Trois fois. Lorsque le Tardis se matérialisa, le Docteur leur dit de rentrer. Jack poussa un très long soupir avant de rentrer en trainant les pattes, sans un regard pour le Docteur. Jusqu'à nouvel ordre, il ne lui adresserait plus la parole, de peur de lui mettre une droite dès qu'il ouvrirai la bouche.

Il s'avança vers un coin du vaisseau et s'assit, le long de la paroi, plongeant dans ses idées noires.

Siobhan fut également déstabilisée quand le TARDIS partit car elle si était appuyer mais elle repris facilement son équilibre. Quand ce dernier réapparut quelque instant après elle coinça Jack dans l’entrebâillement de la porte pour être sur qu'il l'écoute bien.

- Je ne t'est, au grand jamais, dit de l'oublier Jack!. Si tu déniais m'écouter plus souvent tu l'aurais compris. Je dis juste que ton fameux mur des souvenirs te fait plus de mal que de bien, il t'empêche de guérir. Je ne l'ais pas connu mais je suis absolument perçoidée qu'il n'aimerait pas que tu t'inflige cette torture. Tu dois continuer ... Et en parlant d'avouer les sentiments, figure toi qu'il y des personnes qui t'aime autour de toi ... des gens comme moi.

Elle ne lui dit ni ne lui montra à quel point elle l'aimait. Le faite que Jack ne n'est toujours pas compris après tout ce temps la mettait en colère et elle préféra allé évacuer cette colère en allant s'occuper. Elle ne jetta qu'un bref regard pour le voir ce mettre dans un coin.

- Alors Doc, vous êtes aller faire un petit voyage au pays des Ood?, Pourquoi étaient-ils ici? vous n'avez tout de même pas lâcher des Ood fou dans la nature?!

- Alors Doc, vous êtes allé faire un petit voyage au pays des Ood?, Pourquoi étaient-ils ici? vous n'avez tout de même pas lâcher des Ood fou dans la nature?!
Je me mis a rire d'un rire sans joie :

-Absolument pas, je les ais relâchés car ils avaient repris un état normal. En ce qui concerne ce qu'ils faisaient là je n'en ais toujours aucune idée, cependant, cela a créé un léger bouleversement au niveau de l'histoire humaine, mais bon rien de grave.
Je regardai Jack, plongé dans ses pensées. Je voulais lui parlé mais il était apparemment bien plus en colère que je ne l'imaginais. Je décidais alors de ne pas lui parler pour le moment. Je faisais un tour dans le TARDIS, histoire de voir s'il restait des Oods ou s'il y avait d'autres problèmes dans le vaisseau. Je laissais donc Siobhan et Jack seuls, les laissant discuter. En revenant, ils s'étaient rapprochés, mais apparemment pas de signes changés chez Jack, il était toujours énervé. Sauf ... Sauf qu'il avait une lueur dans les yeux, mais je n'aurais su expliqué ce que c'était. Je ne savais pas quoi lui dire. J'aurais voulu lui dire que je pourrais éviter ça, mais le paradoxe créé était trop grand.

-Jack, votre bonheur est juste sous vos yeux, mais vous ne le voyez pas. Regardez juste autour de vous. Vous trouverez ce que vous cherchez. Je sais que vous le savez, mais vous ne voulez pas le voir. Vous vous faites du mal, alors que vous pourriez être épanoui et heureux. Ouvrez les yeux Jack. Arrêtez de regarder dans le passé et regardez dans le présent. Vous ne vous sentirez que mieux.
Je me dirigeais alors vers Siobhan. Je la regardai, lui souris malgré moi et alla m’asseoir dans les escaliers. J’attendais la réponse de Jack qui réfléchissait, mais je n’y portais pas attention car moi-même je réfléchissais. Je redressais la tête et lui dit :

-Vous allez rencontrer énormément de personnes dans votre vie, et il y en a forcément certaines que vous allez aimer, et certaines sont peut être plus proches que vous ne le pensez. Vous n’êtes pas seul Jack.

Je ferme le sujet, aucune réponse depuis plus d'un mois, j'improvise donc une fin :

Le TARDIS a dérapé sur sa ligne temporelle et nous nous sommes retrouvés sur une planète déserte. Jack à fini par me mettre une droite. Je me suis relevés et nous avons commencé à nous battre. Siobhan s'est mise à pleurer et nous nous sommes immédiatement arrêté. J'ai bidouillé le TARDIS,mais il ne voulait plus démarrer. J'ai dû courir dans tous le TARDIS pour trouver ce que je cherchais, mais à mon retour un ange pleureur me barrais la route. J'appelais Jack et Siobhan pour qu'ils m'aident à me débarrasser de lui. Comment nous avons fait? Même pas moi je le sais, mais nous l'avons fait. Je déposa Siobhan et Jack sur terre et repartis, mais le TARDIS refit des siennes.